» Lettre T

Opération de taille destinée à orienter la silhouette d’un arbre ou arbuste en vue d’un objectif particulier : développer l’aptitude à fructifier ou à se ramifier, par exemple. Les plus sophistiquées concernent les arbres fruitiers palissés.

Opération destinée à éliminer sur les arbustes, les branches mortes ou malades ainsi que les inflorescences fanées. Elle se pratique après la période de végétation.

Une taille en vert s’effectue lorsque la sève circule encore et que les arbres sont verts, pleins de feuilles et souvent, de fruits. Cela permet d’obtenir des fruits plus gros et évite l’épuisement de l’arbre. A l’inverse, les tailles d’hiver, dites « en sec », se font lorsque la sève est redescendue et circule beaucoup plus lentement.

Une taille est dite légère lorsque l’on coupe moins du tiers de la croissance des tiges de la saison.

Une taille est dite sévère lorsque que l’on coupe au moins la moitié de la croissance des tiges de la saison.

Faculté pour les plantes de développer de nouvelles pousses à la base de la plante, et constituant une touffe herbacée, caractéristique des graminées.

Base d’une tige prise comme bouture, que l’on détache avec elle, et apaprtenant à la branche dont cette tige est issue.

Maladie des arbres fruitiers due à un champignon. Elle provoque, surtout sur les pommiers et les poiriers, des tâches sur mes feuilles et la nécrose des fruits.

Processus de compostage qui génère de la chaleur, accélérant la décomposition des déchets organiques et produisant du compost en un temps plus court.

Terme utilisé pour décrire l’action de travailler ou de retourner le sol, généralement avec une bêche, un motoculteur ou un autre outil, pour préparer le sol pour la plantation.

Genre de plantes aériennes appartenant à la famille des broméliacées, connues pour leur capacité à pousser sans terre, en absorbant l’humidité et les nutriments de l’air.

Enveloppe de paille, de toile de jute ou de filet plastique à mailles très fines utilisée pour maintenir la motte de terre autour des racines d’un arbre qui vient d’être arraché.

L’art topiaire consiste à tailler les végétaux selon des formes bien définies dans un but décoratif : formes géométriques, de personnages ou d’animaux, par exemple ou forme libre.
Les plantes les plus utilisées dans l’art de la topiaire sont le buis, l’if, le laurier, le cyprès, ou même le lierre.

Processus par lequel les plantes libèrent de la vapeur d’eau dans l’air, principalement à travers les stomates de leurs feuilles, jouant un rôle clé dans la régulation de la température et l’équilibre hydrique.

Opération consistant à déplacer une plante d’un point à un autre ou à mettre en pleine terre une jeune plante cultivée en godet.

Croissance ou mouvement d’une plante en réponse à un stimulus environnemental, comme la lumière (phototropisme) ou la gravité (gravitropisme).

Partie renflée d’une racine, d’un rhizome. Il s’y trouve une accumulation de matières nutritives assurant la survie des plantes pendant la saison d’hiver ou en période de sécheresse. Elles permettent aussi le développement ultérieur de nouvelles plantes.

Terme anglais désignant le gazon ou la pelouse, souvent utilisé en référence à la gestion et l’entretien des espaces herbeux.

Bourgeon enterré donnant naissance à une jeune pousse qui apparaît sur les racines, rhizomes ou tubercules de certaines plantes vivaces et dont les parties aériennes meurent tous les ans (par exemple, les asperges).

Tige de bois, de métal ou de plastique, destinée à soutenir les parties aériennes d’une plante de grande taille.

Action d’installer des tuteurs ou des supports pour maintenir les plantes droites et les aider à croître dans la direction souhaitée, souvent utilisé pour les légumes grimpants ou les plantes à grandes fleurs.